A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les catégories... |
Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection



Ceux qui sont tombés / (Saint) Cyprien de Carthage
Titre : Ceux qui sont tombés Titre original : De lapsis Type de document : texte imprimé Auteurs : (Saint) Cyprien de Carthage, Auteur ; Michel Poirier, Traducteur Editeur : Paris : Les Éd. du Cerf Année de publication : 2012, cop. 2012 Collection : Sources chrétiennes, ISSN 0750-1978 num. n547 Importance : 1 vol. (262 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-09915-8 Prix : 34 EUR Langues : Latin Français Résumé : Participer de près ou de loin à un sacrifice aux dieux païens est une faute qui exclut de l'Église. Mais que faire lorsque des dizaines, des centaines de chrétiens ont commis cette faute ? Sous l'empereur Dèce, en 250, on risquait la prison, l'exil, la confiscation des biens, la torture, la mort même, si l'on ne participait pas aux sacrifices publics exigés par l'empereur pour ressouder l'unité du monde romain. Beaucoup ont faibli, sont « tombés », ce sont les « lapsi ». Des rigoristes n'envisageaient aucune réconciliation pour ces « lapsi » ; des laxistes accueillaient les fautifs sans vraie repentance, surtout s'ils étaient porteurs de billets d'indulgence signés par des martyrs avant leur mort ou par des confesseurs de la foi. Entre les deux, Cyprien refuse d'interdire l'espoir, mais exige qu'on prenne conscience de la gravité de la faute commise et qu'on pratique une authentique pénitence, dans les larmes, la prière, le jeûne, l'aumône. Exhorter les fautifs pour qu'ils se plient à ces exigences, c'est les aimer vraiment et leur ouvrir l'espérance. (site éditeur) Ceux qui sont tombés = De lapsis [texte imprimé] / (Saint) Cyprien de Carthage, Auteur ; Michel Poirier, Traducteur . - Paris : Les Éd. du Cerf, 2012, cop. 2012 . - 1 vol. (262 p.) ; 20 cm. - (Sources chrétiennes, ISSN 0750-1978; n547) .
ISBN : 978-2-204-09915-8 : 34 EUR
Langues : Latin Français
Résumé : Participer de près ou de loin à un sacrifice aux dieux païens est une faute qui exclut de l'Église. Mais que faire lorsque des dizaines, des centaines de chrétiens ont commis cette faute ? Sous l'empereur Dèce, en 250, on risquait la prison, l'exil, la confiscation des biens, la torture, la mort même, si l'on ne participait pas aux sacrifices publics exigés par l'empereur pour ressouder l'unité du monde romain. Beaucoup ont faibli, sont « tombés », ce sont les « lapsi ». Des rigoristes n'envisageaient aucune réconciliation pour ces « lapsi » ; des laxistes accueillaient les fautifs sans vraie repentance, surtout s'ils étaient porteurs de billets d'indulgence signés par des martyrs avant leur mort ou par des confesseurs de la foi. Entre les deux, Cyprien refuse d'interdire l'espoir, mais exige qu'on prenne conscience de la gravité de la faute commise et qu'on pratique une authentique pénitence, dans les larmes, la prière, le jeûne, l'aumône. Exhorter les fautifs pour qu'ils se plient à ces exigences, c'est les aimer vraiment et leur ouvrir l'espérance. (site éditeur) Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0076690 SC547 Livres Magasin Patristique Disponible Les noms divins (Chapitres V-XIII) ; La théologie mystique / Pseudo Denys
Titre : Les noms divins (Chapitres V-XIII) ; La théologie mystique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pseudo Denys, Auteur ; Ysabel de Andia, Editeur scientifique Editeur : Paris : Les Éd. du Cerf Année de publication : 2016 Collection : Sources chrétiennes, ISSN 0750-1978 num. 579 Importance : 1 vol. (459 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-10790-7 Prix : 49 EUR Langues : Français Grec classique Langues originales : Grec classique Résumé : Datés du début du VI e siècle, ces deux traités témoignent de la forte influence de la tradition néoplatonicienne sur l’auteur, qui dissimule sa véritable identité sous le nom du disciple converti par Paul à Athènes. Le premier – le plus long écrit par l’auteur – examine les noms divins structurés par le mouvement de la procession, de la conversion et de la permanence. On ne peut nommer Dieu que par ses processions, car en tant qu’il est non-être et au-delà de l’être, il reste caché et au-delà de tout nom. L’auteur passe en revue les différents noms de Dieu : le bien, la lumière, le beau, l’amour, etc. Ces titres, qui jouent un rôle central dans le platonisme tardif, sont ici profondément christianisés. Le deuxième traité, la Théologie mystique, très bref, montre que l’union mystique, illustrée par l’entrée de Moïse dans la Ténèbre (Exode 19), transcende toute expression et activité des sens et de l’intellect, si bien que connaissance et ignorance de Dieu sont tenues pour identiques. La montée de Moïse sur le Sinaï représente l’ignorance de Dieu, mais sa redescente fonde la validité de la théologie positive. L’œuvre témoigne d’une tentative très élaborée de synthèse entre hellénisme et christianisme. Les noms divins (Chapitres V-XIII) ; La théologie mystique [texte imprimé] / Pseudo Denys, Auteur ; Ysabel de Andia, Editeur scientifique . - Paris : Les Éd. du Cerf, 2016 . - 1 vol. (459 p.) ; 20 cm. - (Sources chrétiennes, ISSN 0750-1978; 579) .
ISBN : 978-2-204-10790-7 : 49 EUR
Langues : Français Grec classique Langues originales : Grec classique
Résumé : Datés du début du VI e siècle, ces deux traités témoignent de la forte influence de la tradition néoplatonicienne sur l’auteur, qui dissimule sa véritable identité sous le nom du disciple converti par Paul à Athènes. Le premier – le plus long écrit par l’auteur – examine les noms divins structurés par le mouvement de la procession, de la conversion et de la permanence. On ne peut nommer Dieu que par ses processions, car en tant qu’il est non-être et au-delà de l’être, il reste caché et au-delà de tout nom. L’auteur passe en revue les différents noms de Dieu : le bien, la lumière, le beau, l’amour, etc. Ces titres, qui jouent un rôle central dans le platonisme tardif, sont ici profondément christianisés. Le deuxième traité, la Théologie mystique, très bref, montre que l’union mystique, illustrée par l’entrée de Moïse dans la Ténèbre (Exode 19), transcende toute expression et activité des sens et de l’intellect, si bien que connaissance et ignorance de Dieu sont tenues pour identiques. La montée de Moïse sur le Sinaï représente l’ignorance de Dieu, mais sa redescente fonde la validité de la théologie positive. L’œuvre témoigne d’une tentative très élaborée de synthèse entre hellénisme et christianisme. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0077670 SC579 Livres Magasin Patristique Disponible Vie de Saint Martin / Paulin de Périgueux
Titre : Vie de Saint Martin : Prologue, livres I - III Type de document : texte imprimé Auteurs : Paulin de Périgueux (Ve siècle) ; Sylvie Labarre Editeur : Paris : Les Éd. du Cerf Année de publication : 2016 Collection : Sources chrétiennes, ISSN 0750-1978 num. 581 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-10653-5 Prix : 42 EUR Langues : Français Latin Langues originales : Latin Résumé : Autour de 470, Paulin de Périgueux compose une Vie de saint Martin, long poème de plus de 3 500 vers, divisé en six chants. Cette épopée, qui emprunte son modèle à l’Énéide de Virgile, pourrait avoir été lue lors de grandes célébrations en l’honneur du saint à Tours. Puisant ses renseignements historiques dans les écrits de Sulpice Sévère (la Vie de saint Martin et les Dialogues ou Gallus), Paulin invite son lecteur à méditer la geste édifiante de l’ancien soldat, moine, évêque et thaumaturge. À travers une suite de scènes variées, il narre les « hauts faits » de Martin, qu’il dépeint tour à tour dialoguant avec les anges ou aux prises avec le Diable, toujours accompagné par la Grâce. Il donne de l’ampleur à la célèbre scène du partage du manteau, imaginant les sentiments des protagonistes, ajoutant des détails ou se souvenant de l’Évangile. Son récit s’achève par la prière et la louange. Avec cette première réécriture, qui sera suivie de bien d’autres, en particulier celle de Venance Fortunat au VIe siècle, Paulin de Périgueux consacre Martin de Tours comme le modèle du saint évêque dans l’Occident médiéval. Vie de Saint Martin : Prologue, livres I - III [texte imprimé] / Paulin de Périgueux (Ve siècle) ; Sylvie Labarre . - Paris : Les Éd. du Cerf, 2016. - (Sources chrétiennes, ISSN 0750-1978; 581) .
ISBN : 978-2-204-10653-5 : 42 EUR
Langues : Français Latin Langues originales : Latin
Résumé : Autour de 470, Paulin de Périgueux compose une Vie de saint Martin, long poème de plus de 3 500 vers, divisé en six chants. Cette épopée, qui emprunte son modèle à l’Énéide de Virgile, pourrait avoir été lue lors de grandes célébrations en l’honneur du saint à Tours. Puisant ses renseignements historiques dans les écrits de Sulpice Sévère (la Vie de saint Martin et les Dialogues ou Gallus), Paulin invite son lecteur à méditer la geste édifiante de l’ancien soldat, moine, évêque et thaumaturge. À travers une suite de scènes variées, il narre les « hauts faits » de Martin, qu’il dépeint tour à tour dialoguant avec les anges ou aux prises avec le Diable, toujours accompagné par la Grâce. Il donne de l’ampleur à la célèbre scène du partage du manteau, imaginant les sentiments des protagonistes, ajoutant des détails ou se souvenant de l’Évangile. Son récit s’achève par la prière et la louange. Avec cette première réécriture, qui sera suivie de bien d’autres, en particulier celle de Venance Fortunat au VIe siècle, Paulin de Périgueux consacre Martin de Tours comme le modèle du saint évêque dans l’Occident médiéval. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0077669 SC581 Livres Magasin Patristique Disponible