Titre : | De la considération : Suivi de "L'architecture de saint Bernard" | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Bernard de Clairvaux (1090?-1153), Auteur ; Pierre Dalloz, Editeur scientifique | Editeur : | Paris : Cerf | Année de publication : | 2012 | Collection : | Sagesses chrétiennes | Importance : | 200 | Format : | 195 x 125 x 15 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-204-09800-7 | Prix : | 20 | Langues : | Français | Résumé : | « De la considération » est le dernier ouvrage de saint Bernard de Clairvaux (mort en 1153), son testament politique et religieux. Il s'agit de cinq livres dictés par lui, entre 1148 et 1152, à l'adresse de l'un de ses anciens moines devenu pape sous le nom d'Eugène III. Contraint à s'exiler en France, celui-ci s'était tourné vers Bernard de Clairvaux pour lui demander conseil. Avec une verve et une liberté prodigieuses, l'abbé adresse ses recommandations, remontrances et encouragements au successeur de Pierre, en l'occurrence plus apte à affronter les rigueurs de la vie monastiques qu'à gouverner l'Église. Saint Bernard souhaitait une très large audience à cet enseignement : « Pour être le destinataire de cet écrit, précisait-il au pape Eugène, il ne faut pas que tu en sois le seul bénéficiaire. »
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De la considération : Suivi de "L'architecture de saint Bernard" [texte imprimé] / Bernard de Clairvaux (1090?-1153), Auteur ; Pierre Dalloz, Editeur scientifique . - Paris : Cerf, 2012 . - 200 ; 195 x 125 x 15. - ( Sagesses chrétiennes) . ISBN : 978-2-204-09800-7 : 20 Langues : Français Résumé : | « De la considération » est le dernier ouvrage de saint Bernard de Clairvaux (mort en 1153), son testament politique et religieux. Il s'agit de cinq livres dictés par lui, entre 1148 et 1152, à l'adresse de l'un de ses anciens moines devenu pape sous le nom d'Eugène III. Contraint à s'exiler en France, celui-ci s'était tourné vers Bernard de Clairvaux pour lui demander conseil. Avec une verve et une liberté prodigieuses, l'abbé adresse ses recommandations, remontrances et encouragements au successeur de Pierre, en l'occurrence plus apte à affronter les rigueurs de la vie monastiques qu'à gouverner l'Église. Saint Bernard souhaitait une très large audience à cet enseignement : « Pour être le destinataire de cet écrit, précisait-il au pape Eugène, il ne faut pas que tu en sois le seul bénéficiaire. »
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