Titre : | Prier 15 jours avec sainte Jeanne-Antide Thouret | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Lucien (Mgr) Daloz, Auteur | Editeur : | Bruyères-le-Châtel : Nouvelle cité | Année de publication : | 2007 | Importance : | 1 vol. (126 p.) | Format : | 19 cm. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-85313-514-6 | Langues : | Français | Résumé : | La vie de Jeanne-Antide Thouret est une aventure, marquée par une passion : le service des pauvres, «ces membres souffrants de Jésus-Christ», et par un événement : la Révolution française. Née en 1765 à Sancey, dans le Doubs, elle entre à 22 ans chez les Filles de la Charité. Chassée par la Révolution, elle passe en Suisse, puis en Bavière, d'où elle revient seule, à pied. De retour à Besançon, où la misère est grande, elle fonde une congrégation pour «le service corporel et spirituel des pauvres». Appelée au Royaume de Naples par la Mère de Napoléon, elle fait reconnaître sa congrégation parle Pape. L'archevêque de Besançon la bannit alors de ses premières fondations, et elle meurt en exil, à Naples, en 1826. Elle est canonisée en 1934, «servante infatigable de la charité». Elle n'a pas composé de traité de vie spirituelle. Mais elle n'a rien enseigné à ses filles qu'elle n'ait elle-même vécu. C'est pourquoi son témoignage est tellement authentique. |
Prier 15 jours avec sainte Jeanne-Antide Thouret [texte imprimé] / Lucien (Mgr) Daloz, Auteur . - Bruyères-le-Châtel : Nouvelle cité, 2007 . - 1 vol. (126 p.) ; 19 cm. ISBN : 978-2-85313-514-6 Langues : Français Résumé : | La vie de Jeanne-Antide Thouret est une aventure, marquée par une passion : le service des pauvres, «ces membres souffrants de Jésus-Christ», et par un événement : la Révolution française. Née en 1765 à Sancey, dans le Doubs, elle entre à 22 ans chez les Filles de la Charité. Chassée par la Révolution, elle passe en Suisse, puis en Bavière, d'où elle revient seule, à pied. De retour à Besançon, où la misère est grande, elle fonde une congrégation pour «le service corporel et spirituel des pauvres». Appelée au Royaume de Naples par la Mère de Napoléon, elle fait reconnaître sa congrégation parle Pape. L'archevêque de Besançon la bannit alors de ses premières fondations, et elle meurt en exil, à Naples, en 1826. Elle est canonisée en 1934, «servante infatigable de la charité». Elle n'a pas composé de traité de vie spirituelle. Mais elle n'a rien enseigné à ses filles qu'elle n'ait elle-même vécu. C'est pourquoi son témoignage est tellement authentique. |
|  |