| Titre : | La mort, un temps à vivre : [Annales 2013-2014 de l'Académie d'Education et d'Etudes Sociales] | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Académie d'éducation et d'études sociales, Auteur | | Editeur : | [Paris] : François-Xavier de Guibert | | Année de publication : | 2015 | | Importance : | 1 vol. (247 p.) | | Format : | 24 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7554-0580-4 | | Langues : | Français | | Résumé : | La source de toutes les misères de l’homme, ce n’est pas la mort, mais la crainte de la mort(Épictète). La chose du monde à laquelle un homme libre pense le moins, c’est la mort et la sagesse n’est point la méditation de la mort, mais de la vie (Spinoza). Pourquoi en effet réfléchir sur la mort, si ce n’est pour mieux vivre ? Partant du constat de l’occultation de la mort par notre société, des peurs qu’elle nourrit, des difficultés pour entourer ceux qui arrivent au bout de leur vie, notre réflexion se portera sur les points essentiels qui semblent nécessaires aux hommes pour que - au delà d’un regard sur les étapes de la vie - ils puissent, en ne reléguant plus ceux qui arrivent à cette ultime étape et en les entourant, à défaut de sagesse, acquérir une certaine paix qui semble parfois fuir notre temps. |
La mort, un temps à vivre : [Annales 2013-2014 de l'Académie d'Education et d'Etudes Sociales] [texte imprimé] / Académie d'éducation et d'études sociales, Auteur . - [Paris] : François-Xavier de Guibert, 2015 . - 1 vol. (247 p.) ; 24 cm. ISBN : 978-2-7554-0580-4 Langues : Français | Résumé : | La source de toutes les misères de l’homme, ce n’est pas la mort, mais la crainte de la mort(Épictète). La chose du monde à laquelle un homme libre pense le moins, c’est la mort et la sagesse n’est point la méditation de la mort, mais de la vie (Spinoza). Pourquoi en effet réfléchir sur la mort, si ce n’est pour mieux vivre ? Partant du constat de l’occultation de la mort par notre société, des peurs qu’elle nourrit, des difficultés pour entourer ceux qui arrivent au bout de leur vie, notre réflexion se portera sur les points essentiels qui semblent nécessaires aux hommes pour que - au delà d’un regard sur les étapes de la vie - ils puissent, en ne reléguant plus ceux qui arrivent à cette ultime étape et en les entourant, à défaut de sagesse, acquérir une certaine paix qui semble parfois fuir notre temps. |
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La mort, un temps à vivre
